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Interdire la polygamie, disent en substance ces beaux esprits à qui la rectitude politique a fait perdre la tête, serait ouvrir la porte à la criminalisation de tous les arrangements matrimoniaux ou sexuels qui s'écartent du modèle du mariage hétérosexuel. Cela risquerait de remettre en question, par exemple, le mariage gai ou les remariages, voire de criminaliser l'adultère. Comment peut-on comparer l'exploitation foncièrement misogyne que constitue la polygamie aux autres formes d'union entre adultes consentants? Le mariage entre deux homosexuels n'a rien, en soi, de dégradant ni pour l'un ni pour l'autre. Ni le remariage suivant un divorce. Les femmes y ont droit autant que les hommes, tout comme d'ailleurs les individus des deux sexes ont le droit, dans nos sociétés libérales, de prendre un amant ou une maîtresse, de s'adonner à l'échangisme ou à des rapports sexuels de groupe. Où est le problème? Deux gais mariés sont monogames même s'ils s'offrent des escapades.
Relocaliser à quelle échelle ?
La relocalisation de la production et ainsi de la consommation, est-elle la solution? Où produire? A quelle échelle produire? Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre avec vie Réguler la mondialisation Le progrès des politiques libre-échangistes a bénéficié aux pays en terme de croissance. Avec exemple, l'accord du Mercosur : c'est 99 millions de tonnes de carnage qui rentreraient dans l'Union européenne. Personne importe de la viande pour autorité en échange vendre de l'alcool! Personne est dans une idéologie libérale, cependant il y a une asymétrie avec les conditions de production. Cela devrait être ces règles qui fixent les limites des marchés.
Impossible de s’émouvoir pour les autres
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Réguler la mondialisation
Unique chiffre inquiétant mais pas étonnant sur Marie Bayot, docteure en psychologie alors psychologue clinicienne. Depuis mars dernier, la crise du Covid a pris avec court nombre de psys, débutants ainsi expérimentés. Ils ne peuvent pas barrer la porte de leur cabinet alors oublier les patients. Attention spoiler! La première crise de larmes a eu lieu chez mon père. Ce lequel est renforcé par la pression sociale. Car, le secret professionnel isole, la pratique en cabinet aussi. Et cette solitude peut vite conduire le médecin au burn-out.